Littérature comparée CM S3
- Cours (CM) 12h
- Cours intégrés (CI) -
- Travaux dirigés (TD) 18h
- Travaux pratiques (TP) -
- Travail étudiant (TE) -
Langue de l'enseignement : Français
Description du contenu de l'enseignement
LT23CM14 – Littérature générale et comparée
Cours magistral [obligatoire]
Mme Alix BORGOMANO
Voix et regards d’enfants
Ce cours vise à étudier des œuvres narratives mettant en place des stratégies littéraires pour écrire non pas sur les enfants, mais depuis eux, à travers leur appropriation du langage et leur perception. Il s’agira, à partir d’une œuvre complète (L'Opoponax de Monique Wittig) et d’un corpus d’extraits (issus entre autres du Monde est rond de Gertrude Stein, de L'Art de la joie de Goliarda Sapienza, de L'Autobiographie de ma mère de Jamaica Kincaid, de Marigold and Rose de Louise Glück) de s’intéresser au point de vue et aux décalages stylistiques qui permettent d’envisager l’enfant non comme un simple objet de l’écriture, un “autre” à observer de l’extérieur, mais comme un point d’origine de la parole et une instance de découverte voire d’invention du monde. L’on pourra étendre cette réflexion à des œuvres cinématographiques qui tentent, par leurs expérimentations formelles, de rendre compte d’une intériorité spécifique à l’enfance.
Œuvre complète à acquérir :
Monique Wittig, L'Opoponax (1964), Minuit Double, 2018.
Pour le reste des œuvres étudiées, une anthologie d’extraits sera mise en ligne à la rentrée.
Cours magistral [obligatoire]
Mme Alix BORGOMANO
Voix et regards d’enfants
Ce cours vise à étudier des œuvres narratives mettant en place des stratégies littéraires pour écrire non pas sur les enfants, mais depuis eux, à travers leur appropriation du langage et leur perception. Il s’agira, à partir d’une œuvre complète (L'Opoponax de Monique Wittig) et d’un corpus d’extraits (issus entre autres du Monde est rond de Gertrude Stein, de L'Art de la joie de Goliarda Sapienza, de L'Autobiographie de ma mère de Jamaica Kincaid, de Marigold and Rose de Louise Glück) de s’intéresser au point de vue et aux décalages stylistiques qui permettent d’envisager l’enfant non comme un simple objet de l’écriture, un “autre” à observer de l’extérieur, mais comme un point d’origine de la parole et une instance de découverte voire d’invention du monde. L’on pourra étendre cette réflexion à des œuvres cinématographiques qui tentent, par leurs expérimentations formelles, de rendre compte d’une intériorité spécifique à l’enfance.
Œuvre complète à acquérir :
Monique Wittig, L'Opoponax (1964), Minuit Double, 2018.
Pour le reste des œuvres étudiées, une anthologie d’extraits sera mise en ligne à la rentrée.